Selon le droit international, tout individu a le droit de « prendre part à la direction des affaires publiques, soit directement, soit par l’intermédiaire de ses représentants librement choisis », « de voter et d’être élu, au cours d’élections périodiques, honnêtes », au suffrage universel et égal et au scrutin secret, et « d’accéder, dans des conditions générales d’égalité, aux fonctions publiques de son pays ». Chacun doit pouvoir jouir de ces droits sans discrimination aucune et sans « restrictions déraisonnables » (PIDCP, troisième partie, article 25).